542
(10 votes, average 2.90 out of 5)
Patrimoine -
Vieux gréements
|
Jeune Ariane appartient au patrimoine maritime. Elle témoigne du temps où la navigation s'effectuait à la voile, d'un métier ancien, le pilotage, et de savoirs-faire liés à la construction navale dont les exemples sont peu nombreux sur nos côtes. Jeune Ariane est une réplique de cotre pilote, construite en 1977 à Granville, sur le modèle de bateaux qui ont pour la plupart disparu autour de la première guerre mondiale.
|
|
Patrimoine -
Vieux gréements
|
Le gréement d'un navire à voile est constitué de l'ensemble des espars (mâts, bômes, tangons, etc.), manœuvres courantes (drisses, écoutes, etc.), manœuvres dormantes (étais, haubans, etc.) servant à régler, établir et manœuvrer la voilure. Le mot vient du norrois greida.
|
Patrimoine -
Vieux gréements
|
Construit en 1929 à Saint-Malo, au chantier Mallard, et utilisé pour la pêche au maquereau à Cancale sous l'immatriculation de Can71 jusqu'en 1940, Astrolabe est racheté par Yves de Parscau à la « veuve Alcide » début 1950. De Gaby, il devient Ker Avel et part à Nantes où il sera transformé de bateau de pêche creux en véritable bateau habitable grâce à la pose d’un roof.
|
458
(5 votes, average 3.00 out of 5)
Patrimoine -
Vieux gréements
|
C’est par une ordonnance du 1er novembre 1830 que le roi Louis-Philippe créa l’Ecole navale. Cette ordonnance organisait la formation des officiers de marine dont le corps avait beaucoup évolué depuis 1373. De l’île de Malte où les chevaliers de Saint Jean de Jérusalem avaient constitué, à partir de 1532, une véritable école internationale de la mer, au collège d’Angoulême créé en 1818, en passant par les compagnies de gardes de Toulon, Brest et Rochefort et les écoles impériales de 1810, la formation de ces officiers n’a jamais cessé d’évoluer pour s’adapter aux besoins de la marine.
|
Patrimoine -
Vieux gréements
|
Les vieux gréements font de la resistance... Il y a tout juste cent ans La Pauline d'Hypolyte GUINARD disposait du vent comme seule énergie de propulsion. Déjà de grands armateurs avaient installé des machines à vapeur sur leurs plus grands voiliers dans un souci de rendement, mais il faudra compter plusieurs décennies avant que disparaissent bisquines, lougres et autres chaloupes de nos côtes.
|
|
|
<< Début < Précédent 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Suivant > Fin >>
|
Page 4 sur 9 |